a tenu à saluer l'immense effort diplomatique de la France lors du sommet de Copenhague à travers l'action du Président de la République et du ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de la mer. Selon lui, le travail de pédagogie est fondamental tant auprès de nos partenaires que de nos concitoyens. La prise de conscience de l'opinion publique mais aussi de l'ensemble des cercles de décision est aujourd'hui une réalité tangible. C'est pourquoi la commission de l'économie, du développement durable et de l'aménagement du territoire doit désormais suivre avec attention l'« après-Copenhague » en s'intéressant à la croissance verte, qui offre des réponses économiques à des problèmes écologiques. A ce titre, il a également considéré que l'OMC doit désormais intégrer les questions environnementales et climatiques à son champ de compétences puisqu'il n'est aujourd'hui plus possible d'aborder l'économie et le commerce sans intégrer la dimension du développement durable. Il s'est à cet égard félicité que la France ait décliné un plan climat pour dix-huit filières qui consiste à réorienter l'économie vers les écotechnologies et à encourager la modification des comportements de production et de consommation pour les générations futures.