a tout d'abord salué le rôle efficace d'Ubifrance pour le commerce extérieur français. Puis, considérant qu'il était indispensable que la France parle d'une seule voix en matière d'exportations agricoles, il a souhaité savoir si un rapprochement comme celui du groupe Sopexa et d'Ubifrance était envisageable. Il a également demandé des précisions sur deux sujets : l'évolution du dossier des indications géographiques protégées et l'impact négatif du taux de change de l'euro par rapport au dollar sur les exportations.