a considéré que les réunions interparlementaires devaient se dérouler régulièrement au long de l'année afin que l'UIP puisse constituer une force de propositions dans les négociations commerciales, en ayant anticipé les points essentiels et travaillé sur ceux-ci en interne de manière à pouvoir s'exprimer efficacement en externe. Par ailleurs, également convaincu de la nécessité de tenir un langage de vérité aux agriculteurs, il a estimé qu'il convenait d'insister, pour préparer utilement l'après-2013, sur l'agrandissement inéluctable des exploitations, sur le soutien aux indications géographiques et sur le développement des productions biologiques. Enfin, il a souligné l'intérêt pressant de débloquer les négociations sur le NAMA et les services, qui constituent des secteurs très porteurs de l'économie européenne.