a noté que les deux dispositifs étaient différents, tant dans leur finalité que dans leur mode de financement. Évoquant la complexité des solutions adoptées, il a insisté sur leurs effets pervers qui peuvent bouleverser profondément l'économie locale. Il a pris l'exemple des conséquences sur les contrats d'insertion par l'activité dont le financement est de fait alourdi pour les collectivités. Il a ainsi constaté que la création du RSTA avait en fait pour conséquence une certaine augmentation du chômage, la crise économique n'étant pas la seule responsable des licenciements actuels. De plus, il a noté que ni le RSA ni le RSTA n'apportaient de réponse à l'augmentation du nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté.