a confirmé cette analyse, en ajoutant qu'un « ticket paritaire » permettrait en outre d'éviter de nombreuses élections cantonales partielles. Elle a rappelé que l'éventualité de l'élection d'un suppléant de sexe opposé avait déjà été évoquée lorsque Mme Nicole Ameline était ministre de la parité, et s'est interrogée sur l'opportunité de prévoir un statut pour un tel suppléant, ce qui supposerait également un financement adéquat.
Elle a également rappelé qu'en 2000, plusieurs constitutionnalistes, dont M. Guy Carcassonne, disaient n'avoir trouvé aucune solution pour introduire la parité au sein des structures de coopération intercommunale, mais a estimé que les esprits avaient beaucoup évolué depuis cette époque.