a relevé que Mme Jacqueline Alquier avait, dans ses propos, tempéré la notion de désenclavement en se référant à la préservation de la biodiversité, et souligné que l'on ne pourrait pas toujours augmenter la distance entre domicile et lieu de travail. Il a dit partager ces préoccupations et a ajouté que l'on pouvait aussi s'interroger sur le développement de certaines formes de tourisme de masse, qui exigent des infrastructures importantes, ne génèrent qu'une activité saisonnière, sont parfois peu rentables et conduisent à un renchérissement des prix des terrains qui s'oppose au maintien de la population locale. Il a regretté cependant qu'elle ait considéré ces sujets d'interrogation comme des « écueils ». Il ne faut pas en effet vouloir le « désenclavement à tout prix » et une partie de la population peut souhaiter vivre un peu différemment, ce qui justifie par exemple que l'on fasse des efforts pour développer le télétravail.