a souligné que l'actuelle réorganisation de l'implantation territoriale de l'armée fournissait un exemple très actuel de la question du désenclavement : c'est en effet parce qu'elles sont trop « enclavées », qu'elles sont « loin de tout », que sont abandonnées certaines implantations, les collectivités territoriales concernées étant ainsi doublement pénalisées. Il a ajouté que la question du désenclavement était d'autant plus déterminante qu'elle concernait des territoires où l'on peut avoir, à moindre coût, une meilleure qualité de vie qu'ailleurs.
Revenant enfin sur l'abandon des projets concernant le contournement de Bordeaux et de Toulouse, il a considéré qu'il n'appartenait pas à la solidarité nationale de financer de tels équipements, rendus nécessaires par le développement de ces villes.