a jugé nécessaire de poursuivre la réflexion sur le seuil des dépenses éligibles au crédit d'impôt et sur des modes de financement proches de ceux de la production audiovisuelle. Il a regretté que la définition juridique du jeu vidéo soit encore floue et les jurisprudences contradictoires, malgré plus de trente années d'existence. Il a ensuite souligné que le secteur du jeu vidéo était caractérisé par un pacte social robuste bâti autour de l'entreprise.