Evoquant les propos tenus à l'Assemblée nationale par Mme Valérie Pécresse, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche, M. Pierre Cohen, député, a regretté que les moyens budgétaires supplémentaires ne soient attribués qu'après la mise en oeuvre de la réforme, au risque d'avoir des universités à plusieurs vitesses.