s'est demandé s'il fallait remettre en cause l'approche globale de la loi de 1998, prévoyant l'égalité des droits fondamentaux pour tous et couvrant tous les secteurs (éducation, santé, logement, travail...), ou si la mise en oeuvre de cette loi par les collectivités territoriales suffisait à en assurer l'adaptation aux différents publics concernés. Il s'est également interrogé sur la possibilité d'améliorer la prévention de la pauvreté en traitant davantage les causes de ce phénomène. Il a enfin souhaité connaître l'opinion de l'intervenant sur l'utilité éventuelle d'une modification de la structure gouvernementale afin de mieux prendre en compte l'exclusion.