s'est interrogé au sujet de la reprise partielle par la gendarmerie de la mission de souveraineté outre-mer assurée aujourd'hui par les armées et de ses conséquences éventuelles sur les effectifs de la police nationale outre-mer.
Le général Roland Gilles a répondu que la reprise partielle par la gendarmerie de la mission de souveraineté outre mer assurée jusqu'à présent par les armées n'aurait pas de conséquences sur les effectifs de la police nationale outre-mer.
Il a simplement mentionné la possibilité de procéder à des redéploiements ponctuels de zones de compétence entre la police et la gendarmerie outre-mer.