En réponse, Mme Brigitte Bout, sénateur, vice-président de l'OPECST, a déclaré que les campagnes nationales de prévention n'avaient que peu d'impact sur les populations à risque, et qu'il convenait de privilégier les interventions de proximité et de communauté, qui mettent les individus en situation de s'approprier les conseils sur une alimentation plus équilibrée et une plus grande activité physique. Elle a alors cité l'étude « Fleurbaix Laventie Ville Santé » qui a démontré que ce type d'action avait un effet réel sur le taux de prévalence de l'obésité de l'ensemble de la population, dont les catégories les moins favorisées.