a fait valoir que, si certains départements pouvaient se réjouir des nouvelles orientations de la PAC, d'autres en souffraient terriblement. Il a dénoncé certaines idées reçues sur les céréaliers de la Beauce et indiqué, à titre d'exemple, que les nouvelles règles se traduiraient par une perte de revenus de 1 000 euros par mois pour une exploitation céréalière d'une surface de 100 hectares, considérant que cela rendrait difficile l'installation des jeunes agriculteurs.