A Mme Nicole Bricq qui souhaitait savoir, en évoquant une rémunération du financement à 4 % seulement, s'il préconisait un financement du nucléaire par un acteur public, M. Henri Prévot a répondu par l'affirmative en remarquant que le taux d'emprunt était plus élevé pour une société privée que pour un établissement public garanti ipso facto par l'Etat, et qu'une entreprise demandait une rentabilité de son capital investi également plus élevée, notamment du fait de l'incertitude pesant sur la stabilité du choix politique en faveur du nucléaire.