Après s'être déclaré convaincu que les conséquences du réchauffement de la planète ainsi que les risques d'approvisionnement en matières fossiles (pétrole, charbon et gaz) feront adhérer les populations à la solution nucléaire, ce qui permettra plus facilement de déterminer de nouveaux emplacements pour les centrales, M. Henri Prévot a jugé qu'il serait opportun de favoriser la construction des certaines centrales en bord de mer, ce qui rendrait nécessaire de modifier la loi « Littoral ». S'agissant des déchets, il a répondu qu'il préférait des déchets, même dangereux comme les déchets nucléaires, concentrés et localisés de manière à être surveillés, que les émissions de gaz carbonique, lequel est incontrôlable, non traçable et très meurtrier. A cet égard, il a mis en avant l'intérêt des surgénérateurs, qui permettront de diminuer les déchets.