a tout d'abord estimé que plusieurs dispositions du texte voté par l'Assemblée nationale étaient de nature à pénaliser le potentiel hydroélectrique français, d'environ 3 %, à un moment où la France est tenue de développer les énergies renouvelables en application de ses engagements européens. Il a, à ce titre, remercié le rapporteur d'avoir abordé la deuxième lecture du projet de loi avec le souci de préserver les forces du système électrique français. Puis, évoquant la question des redevances, il s'est déclaré très préoccupé de l'augmentation, introduite dans le projet de loi par les députés, du montant de la redevance relative aux prélèvements d'eau pour refroidissement, indiquant que cette proposition porterait la charge financière supportée par EDF de 35 millions d'euros à 550 millions d'euros.