Soulignant que les débats de la commission illustraient les divergences qui avaient existé entre l'Assemblée nationale et le Sénat, M. Gérard Cornu a jugé un compromis nécessaire. Tout en comprenant les réticences des bailleurs sociaux devant les sommes en jeu, il a estimé que les propriétaires privés pourraient procéder aux aménagements demandés, peu coûteux et de surcroît déductibles. Il a exprimé sa crainte que les locataires n'accordent à ces équipements qu'une attention insuffisante.