ministre du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville, a estimé que les partenaires sociaux et les employeurs n'étaient sans doute pas très disposés à adopter ce type de règle, mais qu'ils ne seraient pas nécessairement hostiles à ce que l'Etat la leur impose. Il a indiqué que les syndicats de salariés étaient de plus en plus attentifs à ces questions de parité, et a relevé que la composition du bureau de la Confédération générale du travail (CGT) était aujourd'hui paritaire.