après avoir relevé l'intérêt de la mise en place de l'Agence des aires marines protégées, pour mettre en place une politique ambitieuse de préservation et de mise en valeur des espaces maritimes français, s'est interrogée sur le bien fondé du parc naturel urbain proposé par le projet de loi.
Soulignant la nécessité d'adopter des mesures de protection de la faune et de la flore, elle s'est interrogée sur la notion de « superficie critique » à atteindre lors de la définition des zones de protection, afin que le dispositif soit performant. Rappelant la très grande complexité des sciences du vivant, elle a considéré que le rôle du conseil scientifique au sein d'un parc national devait être renforcé.