a jugé qu'il était en effet essentiel de poursuivre l'effort de pédagogie envers les contribuables. S'agissant du taux de prélèvements obligatoires, le ministre a reconnu qu'il ne constituait pas un indicateur toujours pertinent, dans la mesure où celui-ci reposait sur le PIB, soit un dénominateur très volatile. Il a estimé qu'il serait préférable de rapporter le montant des prélèvements obligatoires au budget de l'Etat, des collectivités territoriales et de la sécurité sociale.