s'est réjoui des bons résultats de l'exécution budgétaire pour 2006. Il s'est ensuite interrogé sur la pérennité de cette tendance, étant donné, notamment, le contenu des programmes politiques des différents candidats à l'élection présidentielle. Il a, enfin, soulevé la question du perfectionnement de la LOLF, qui apparaît encore parfois comme une contrainte excessive pour les gestionnaires ou comme une tentative de recentralisation du pouvoir au profit du ministère de l'économie, des finances et de l'industrie.