Ce serait une indiscutable faute politique que d'abandonner ce continent d'avenir. Le vide laissé serait du reste immédiatement compensé, en particulier par la Chine. C'est la raison pour laquelle il n'est pas souhaitable de trop banaliser notre relation. Celle-ci doit demeurer singulière. Nous avons pu constater, à travers l'excellent accueil qui nous a été réservé, y compris par le Premier ministre, que notre présence était très bien perçue ; comme celle d'un véritable partenaire sur la base d'une relation de confiance.