évoquant les problèmes monétaires et l'avenir du dollar, a souhaité savoir si l'accroissement des écarts de taux serait supportable pour la zone euro. Il a souligné que le protectionnisme pouvait prendre diverses formes, comme la dévaluation de près de 40 % de la livre britannique, ou encore une dimension environnementale, avec l'exemple de la taxe carbone. Il s'est interrogé sur la signification du libre-échange dans un monde où les écarts de salaire vont de 1 à 20, appelant à une réflexion plus ouverte alors que le protectionnisme est tout à la fois vilipendé et toléré. Il a observé que, en dépit du renforcement de la coopération, des stratégies non coopératives persistaient, y compris au sein de l'Union européenne, comme en Allemagne par sa politique de pression sur les salaires.