a rappelé les difficultés rencontrées par RFI dans l'élaboration du nouveau contrat d'objectifs et de moyens de l'entreprise, qui concernent essentiellement la réorganisation des rédactions en langues étrangères, les formes d'une coopération qui reste à définir avec la chaîne d'information internationale et les pistes de développement à l'international, notamment au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.
Tout en soulignant le succès des programmes de RFI dans le monde en termes d'audience et de vecteur de l'influence française, il a précisé que les conditions du redéploiement des moyens rédactionnels, techniques et financiers devaient s'inscrire dans le cadre de la loi organique relative aux lois de finances. Il a invité, ainsi, les dirigeants de RFI à définir un nouveau plan stratégique dans un contexte international concurrentiel et dans une perspective d'élargissement des zones d'influence.
Rappelant que RFI était une entreprise du secteur public, financée exclusivement sur fonds publics, il a estimé que l'institution parlementaire devait être considérée comme un interlocuteur privilégié.