a estimé qu'il fallait effectivement prendre en compte le nombre de cas graves, le nombre de décès. Il a rappelé, comme l'a souligné le professeur Keil, qu'on accordait beaucoup d'importance aux variations des virus. Mais ce qui et important, ce n'est pas d'observer le virus au microscope, c'est ce qu'on observe dans la population, au niveau de la santé publique. Peu importe à quoi ressemble un virus. Ce qu'il faut savoir, c'est ce qui se passe dans la réalité, comment il faut agir en se fondant sur des preuves fiables, sur des faits et pas sur des théories.