a répondu que, pour les maladies de type grippe A, la réflexion doit être fondée sur des preuves scientifiques et pas sur des théories. L'expérience montre qu'il y a eu des cas graves, mais qu'ils ont été très rares, alors même qu'on ne sait pas exactement combien de personnes décèdent de la grippe saisonnière. Il faut regarder les choses de près. En tant que médecin, il préconise « une intraveineuse d'honnêteté », avec une bonne dose de transparence et aussi de responsabilité. Il y a des gens qui n'ont pas été responsables, qui n'ont fait aucun cas de ce qui se passait, il faut qu'ils reconnaissent leur erreurs et en tirent les leçons, au lieu de chercher des excuses au changement de définition de la pandémie ou à la façon peu recommandable dont la situation a été gérée.
Pour sa part, il mettrait en place un régime de transparence, d'honnêteté, fondé sur des preuves et pas sur des théories. Il n'y aurait plus de virus tueur.