a reconnu que les communes devraient à l'avenir faire preuve d'une plus grande vigilance dans la gestion des ossuaires, alors qu'elles ne disposaient pas toutes des mêmes moyens. Il a néanmoins souligné la nécessité d'accorder une plus grande attention aux souhaits des défunts et de leur famille. Ayant rappelé que 80 % des corps des personnes de confession musulmane décédées en France, pour la plupart de nationalité française, étaient inhumés à l'étranger, il a estimé qu'une telle pratique ne favorisait pas l'intégration des personnes concernées.