Soulignant l'importance de l'autonomie budgétaire de la Cour des comptes, M. Jacques Mahéas a indiqué que le projet de loi comportait des éléments positifs, à l'exemple de l'instauration d'un régime disciplinaire pour les magistrats, mais s'est interrogé sur la nécessité de ce texte.
Il a demandé quels étaient les effectifs de la Cour travaillant en dehors de celle-ci et de lui préciser si les dispositions permettant aux magistrats d'exercer leur activité au-delà de la limite d'âge de soixante-cinq ans étaient appliquées en pratique.