Après avoir rappelé l'importance financière du soutien européen aux filières ovine et caprine, une somme d'1,5 milliard d'euros, pas moins, ayant été dépensée à ce titre depuis 2000, M. François Prevost s'est demandé s'il ne faudrait pas soutenir davantage l'activité de berger et mobiliser de façon plus ferme les mesures proposées dans le cadre du deuxième pilier de la politique agricole commune (PAC), relatif au développement rural.