L'application d'une telle réglementation à la viande ovine impliquerait son extension à l'ensemble des filières, à l'importation comme à l'exportation, ce qui pourrait porter préjudice à certains producteurs, a prévenu M. Jean-Marc Bournigal. D'autre part, a-t-il souligné, il est déjà possible aujourd'hui de préciser lors de l'étiquetage des viandes leur date d'abattage ; rendre cette prescription obligatoire requerrait une modification des textes communautaires, qui ne serait pas sans soulever de difficultés politiques.