Cette convention ne traite qu'un petit aspect du ferroutage dans le sud-est de la France, puisqu'il s'agit d'une accélération de cadence sur la ligne du tunnel du Mont-Cenis. On ne parle pas du tout du Lyon-Turin, or la vraie solution pour le franchissement des Alpes est cette liaison. Ma question est donc un peu hors du champ du rapport, mais où en est-on de la restructuration de l'étoile ferroviaire lyonnaise dont le coût est estimé à 3 milliards d'euros, et où en est-on des interdits environnementaux associatifs dans la vallée d'Aoste ?