Je voterai sans réserve les conclusions du rapport car il est nécessaire de soutenir toute initiative en faveur du ferroutage. Je note que l'accord permet d'affirmer la compétence des Etats pour mettre en place un service susceptible d'être érigé en service public. Cependant, pourquoi faire appel à une concession de service public plutôt qu'à une délégation ? Par ailleurs, pour faire suite à l'échange qui a lieu au sein de cette commission, ne serait-il pas judicieux de profiter de cet accord, au lieu de recourir à la procédure simplifiée, pour organiser un débat en séance publique sur la nécessité de développer le ferroutage ?