En réponse à Annick Touba, M. Alain Milon a rappelé que les maisons médicales ont été créées pour assurer des gardes mutualisées grâce au regroupement de plusieurs médecins et font encore partie du paysage institutionnel.
Puis il a précisé que la loi HPST ne parle pas de « professionnels de premier recours » mais de « médecins généralistes de premier recours ». Il était, pour sa part, favorable à ce que les infirmiers, au même titre que les pharmaciens et les médecins généralistes, soient intégrés à ce dispositif mais le Parlement en a décidé autrement.
Enfin, il a jugé indispensable de tirer les conséquences du refus des professionnels de travailler le week-end et la nuit.