a insisté sur l'importance du point soulevé par le professeur Asselain. En effet, l'arrivée des trithérapies pour soigner le VIH a radicalement transformé la morbidité. Or, on n'a pas observé parallèlement de remise à niveau des primes. Actuellement, on constate, pour cette pathologie, une grande hétérogénéité entre les professionnels, certains appliquant peu de surprimes, d'autres de fortes surprimes, d'autres, enfin, rejetant toute proposition d'assurance. Il est impératif que la commission scientifique puisse dégager des lignes de force afin d'exclure un diagnostic individuel dans les propositions d'assurance.