a constaté que de plus en plus de données sont disponibles sur le cancer mais en même temps de moins en moins de dossiers sont acceptés par les assureurs au niveau 3. Or, il existe des études précises sur la survie à cinq ans ou à dix ans des personnes atteintes de ces affections qui sont communiquées aux médecins conseils des assurances. Le problème est donc celui de la réactivité des assureurs et de l'absence d'une analyse du risque aggravé dans sa globalité.