a souligné le besoin de recul des assureurs, ce qui explique un certain délai de réactivité. La convention Aeras permet néanmoins un dialogue plus intense avec les parties concernées et donc une amélioration de la réactivité. Il a ensuite fait valoir qu'un rejet d'assurance est une activité en moins pour les assureurs. Si l'assurance est le moyen de sécuriser les emprunts, il faut souligner que des garanties alternatives existent et que la profession bancaire s'est investie sur le sujet. Il a enfin indiqué que, conformément aux dispositions de la convention Aeras, les deux professions ont pris en charge l'écrêtement des surprimes au-delà d'un certain niveau pour les personnes les plus modestes.