Le ministre pourrait-il nous éclairer sur la fin du plan de relance, dont les dépenses n'avaient pas vocation à être pérennes ? Cette question résulte d'une intervention récente du ministre chargé du Grand Paris, qui déclarait que les crédits en faveur de l'automobile prévus par le plan de relance permettraient de financer certains chantiers. Plus ponctuellement, qu'en est-il de l'opération CDG-Express, au sujet de laquelle le rapport que vous nous avez remis précise que le groupe Vinci a été retenu au terme de la procédure de mise en concurrence et que « la baisse du trafic aérien liée à la crise fait l'objet d'une compensation d'exploitation qui permet d'équilibrer les recettes de la concession par le concédant » ?