Au sénateur Gaillard, je répondrai que le plan de relance a été dimensionné pour la crise et qu'il était incontournable pour que l'investissement public pallie l'absence d'investissement privé. Cet investissement privé est aujourd'hui faible, et la question est de savoir s'il va repartir. Or une incertitude majeure réside dans l'évolution de la régulation financière internationale. Il faut dissiper cette incertitude pour que les agents économiques réinvestissent.