s'est félicité de la toute prochaine intervention du Président de la République qui clarifiera le rôle que la France entend jouer dans le renforcement de la FINUL. Il a regretté que des doutes aient pu être émis, ces derniers jours, sur l'engagement de la France, alors que notre pays s'est très fortement impliqué dans le traitement de la crise actuelle, comme il l'a toujours fait en faveur du Liban. Il a mentionné une déclaration de l'un des deux membres du gouvernement libanais proches du Hezbollah, témoignant de sentiments plutôt favorables à une présence militaire française en appui de l'application de la résolution 1701. Il a ensuite interrogé le ministre des affaires étrangères sur les perspectives de poursuite du dialogue national engagé avant la crise par les différentes forces libanaises et il s'est interrogé sur la volonté du Hezbollah de se ranger pleinement dans la voie de l'action politique.