s'est félicité que sur l'insistance, notamment, de la France, les préoccupations du gouvernement libanais aient pu être prises en compte, aucune solution ne pouvant être imposée de l'extérieur. Il a par ailleurs souligné combien le sentiment d'injustice alimentait la radicalisation et le terrorisme, ce qui devait inciter la communauté internationale à exiger avec la même force la mise en oeuvre de toutes les résolutions des Nations unies. Enfin, il a regretté que l'Union européenne n'ait pas saisi l'opportunité de déployer au Liban une force sous ses propres couleurs.