s'est félicité de l'adoption de la résolution 1701, mais il s'est déclaré très perplexe sur la capacité de la communauté internationale à la mettre en oeuvre. Il s'est notamment demandé comment pourrait être obtenu le désarmement du Hezbollah alors que ce dernier considère avoir gagné la guerre. Il a demandé des précisions sur la position de pays arabes comme la Jordanie, l'Egypte ou l'Arabie saoudite qui devraient jouer un rôle modérateur mais qui se sont relativement peu exprimés au cours du conflit. Enfin, il a souligné l'hypothèque que faisait peser le dossier nucléaire iranien sur le rôle que Téhéran pouvait jouer au Liban.