s'est demandé si l'annonce, par l'Italie, d'une importante contribution à la FINUL, ne fragilisait pas la position française visant à obtenir préalablement des garanties sur le mandat et les règles d'engagement de la force. Il a par ailleurs considéré que la crise libanaise soulignait la nécessité de donner un nouvel élan à la politique euroméditerranéenne.