a fait remarquer qu'en situation d'urgence, interroger une instance de plus peut ralentir la prise de décision. En outre, il ne serait pas raisonnable de brouiller les messages en période de crise. C'est pourquoi la HAS se met alors « en réserve ». Le président de la HAS a pu faire en sorte qu'elle réponde dans la journée à la question qui lui avait été posée en janvier dernier. Mais il serait très difficile que la commission de la transparence puisse se prononcer dans un délai si bref.