s'est déclaré particulièrement préoccupé par la situation de la presse quotidienne pour l'année 2009, compte tenu des prévisions pessimistes relayées par M. Bernard Spitz. Rappelant le rôle central de la presse dans le dynamisme de notre vie démocratique, il a reconnu à l'État un rôle légitime de régulateur du secteur, afin notamment de l'accompagner dans sa modernisation. Il a vu dans le soutien public un levier indispensable à la pluralité de la presse, rappelant à ce titre que le lancement d'un nouveau quotidien était encore loin de constituer un exercice rentable dès lors que les journaux continuent d'être vendus à un prix inférieur à leur coût de revient.