a insisté elle aussi sur le fait que l'amélioration de la parité participe d'un phénomène culturel, en soulignant la nécessité de reconnaître la complémentarité de la femme et de l'homme dans tous les domaines, y compris dans le domaine politique. Elle a ensuite marqué son approbation de l'idée de la mise en oeuvre d'un scrutin de liste sans panachage pour les élections dans les communes de moins de 3 500 habitants.
Après avoir évoqué son parcours personnel, elle a souligné l'effet d'entraînement suscité par la présence de femmes élues dans les assemblées locales.
Faisant observer le lien entre la parité politique et l'exigence d'égalité professionnelle entre hommes et femmes, elle a souhaité que soit examinée à nouveau l'idée d'un statut de l'élu. Elle a précisé qu'une telle démarche devrait notamment comporter des mécanismes permettant la prise en compte des activités politiques, syndicales et associatives au niveau de l'évolution des carrières et au niveau des retraites.