a considéré que cette préoccupation était tout à l'honneur de la profession.
Rappelant que le contrat de pré-vente qui liait la France et le laboratoire Sanofi-Pasteur portait sur la fourniture de « traitements vaccinaux » et non de « doses vaccinales », il a souhaité savoir pourquoi cette terminologie, qui devait permettre d'ajuster les quantités commandées au schéma vaccinal retenu, n'avait pas été reprise dans l'avenant de 2010.