a rappelé que la question soulevée par l'article 46 concerne des femmes en situation de grande fragilité. La difficulté consiste selon lui, en se référant à son expérience de généraliste, à s'assurer que les médecins des centres de planning familial, qui n'habitent parfois pas la commune dont relève le centre, pourront réellement effectuer la surveillance médicale de ces femmes en toute sécurité, dans les heures qui suivent l'administration du médicament.