a relevé l'extrême difficulté d'obtention des visas de la part des autorités birmanes très soucieuses de non-ingérence. Si elle avait pu elle-même se rendre en Birmanie, c'était à l'invitation du groupe Total, afin de pouvoir juger sur place des actions sociales et humanitaires engagées. S'agissant des sanctions, elle a émis la crainte que leur aggravation ne pénalise encore une population très appauvrie.