a rappelé l'importance des pressions exercées par l'ONU, et notamment par le Conseil de sécurité, qui serait à même d'imposer des sanctions globales, appliquées par tous et efficaces. Il a relevé que l'application de ces sanctions comme moyen de pression sur la junte n'était pas contestée par l'opposition birmane comme cela fut du reste le cas, en Afrique du Sud, alors que M. Nelson Mandela était encore emprisonné. S'agissant des investissements internationaux, il a relevé que la question s'était toujours posée, par exemple dans l'ex-URSS ou actuellement dans un certain nombre de pays qui ne respectent pas les principes de la démocratie tels qu'ils s'exercent dans nos pays.