En réponse, M. Jean François-Poncet a indiqué que l'opposition, en Birmanie, était extrêmement contrôlée par un régime très dur, dont l'ensemble des observateurs relèvent qu'il est solidement installé. Seule une évolution graduelle, peut-être dans le cadre d'une nouvelle Constitution qui laisserait une place importante à l'armée, sur le modèle turc par exemple, permettrait une sortie de crise et, à terme, des élections libres.